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Mégère - Lasiommata megera - Famille des Nymphalidae Satyrinae. Satyrini.
La mégère c'est la femelle. Le mâle c'est le satyre.
Un ocelle noir centré de blanc sur les ailes antérieures et quatre petits ocelles sur les ailes postérieures.
Le mâle est plus sombre, (en bas) avec une bande androconiale sur les ailes antérieures.
Sur le revers des ailes on peut compter sept ocelles cerclés de brun sur fond gris.Deux générations par an.
La chenille est verte, avec une ligne longitudinale blanche sur les flancs. Elle se nourrit de graminées.
16 septembre 2016. Femelle Recto - Verso.
27 juillet 2016.
30 Août 2013.
2012
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Méconème tambourinaire - Meconema thalassinum - Famille des Tettigoniidae. Meconematinae.
= La Sauterelle des chênes.
Ordre des Orthoptères. Sous-ordre des Ensifères.
. Les antennes sont plus longues que le corps.
. Les ailes sont bien développées et couvrent tout l'abdomen (= macroptère).
Cette petite sauterelle aux mœurs nocturnes vit dans les arbres, surtout le chêne.
Le jour, elle se cache sous les feuilles ; Il faut donc secouer les branches pour pouvoir l'observer.
Elle est appelée Méconème tambourinaire car, pour séduire la femelle,
le mâle tambourine sur les feuilles avec ses pattes postérieures. Il ne stridule pas.La femelle, grâce à son ovipositeur, pond dans les crevasses de l'écorce.
(A ne pas confondre avec Meconema meridionale, le Meconème fragile, aux ailes atrophiées).
17 août 2014. Femelle. Mesurée : 14mm (sans l'oviscape) et 31mm pour les antennes.
30 Juillet 2014. Femelle ; elle s'était noyée.
4 septembre 2013. Mâles repêchés également.
23 Août 2013. Trouvé dans la maison, attiré par la lumière sans doute. Taille : 12mm.
Les antennes sont très longues. Les cerques du mâle sont également très longs et fins.2012. Mâles. Ici encore tombés dans l'eau, sous un chêne.
17 juillet 2015. Juvénile de Meconème dans un chêne.
Il est difficile sur des immatures de différencier Meconoma thalassinum de Meconema merdionale.Merci à Michel, Jacques et Yann.
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Rouge-gorge - Erithacus rubecula - Famille des turdidés.
Très familier, il suit le jardinier pour picorer les vers de terre qui remontent en surface. Il se nourrit essentiellement d'insectes,
de larves, de vers, mais aussi de petites graines, de baies variées. Il fréquente les mangeoires en hiver.
Le rouge gorge a une excellente vision qui lui permet de rester actif dans la pénombre des sous-bois. Il passe la nuit dans les
buissons, le lierre, ou parfois dans un nichoir.Il devient très agressif quand il s'agit de défendre son territoire pour se garantir une source suffisante de nourriture.
Ici le rouge-gorge chante... Le 3 février deux couples se sont déjà formés. La femelle construit le nid, une boule de mousse,
d'herbes et de feuilles mortes, tapissé de plumes ou de poils, où elle va couver 5 à 7 oeufs jaunâtres tachés de petits points bruns.Les petits sont nourris et protégés par les deux parents. Ils quittent le nid au bout de 12 à 15 jours et deviennent indépendants
trois semaines plus tard.Généralement deux couvées par an.
Espèce commune.
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Verdier - Carduelis chloris - Famille des fringillidés.
Le verdier est un oiseau trapu. Le mâle est vert kaki, avec une bande jaune vif sur le bord des ailes et sur la queue fourchue.
La femelle est plus terne.Ils sont nombreux, attirés par les graines de tournesol dans les mangeoires. Ils les décortiquent sur place avec leur gros bec et
sont agressifs , empêchant les autres oiseaux d'approcher.
Le nid est construit par la femelle, souvent dans une fourche ou très près du tronc de l’arbre , dans le lierre grimpant, le long
d'un mur ou dans les arbustes toujours verts.
Il est fait d'herbes sèches et de mousses et tapissé de fibres végétales, poils, plumes ou laine.
La femelle pond de 4 à 6 œufs qu’elle couve seule, mais nourrie régulièrement par le mâle.
Les deux parents nourrissent les jeunes, d'abord avec des larves d'insectes, et ensuite avec des graines régurgitées.
À la différence de la plupart des autres oiseaux, les verdiers se regroupent jusqu'à 6 couples pour nicher. Ils ont deux à trois
couvées par an.
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Pinson des arbres - Fringilla coeleb - Famille des fringillidés.
Le pinson des arbres fringote, ramage, siffle.
Le mâle adulte est identifiable au dessus de la tête gris-bleu ; le ventre et la gorge rose saumon, le dos brun noisette
et le croupion vert.La femelle, au contraire, a le plumage assez terne et plus discret.
Le jeune ressemble beaucoup à la mère, mais ne possède pas le croupion vert des adultes.
C’est la femelle qui construit le nid, fait de mousse, de brindilles, et de fils d'araignée, dans la fourche des arbres.
Elle pond cinq œufs qu’elle couve seule, deux fois dans l’année. Son plumage lui permet d’échapper à l'attention des prédateurs.7 février 2019.
(Clic gauche pour agrandir les photos).
Pinson et verdier.
Ramassé par terre, c'est un nid de pinson des arbres, de chardonneret, ou de verdier.
Ci-dessous c'est un pinson. Merci à Auzeth pour les explications :
"...On distingue les barres blanches sur l'aile (le verdier n'en possède pas) ; en outre on devrait voir un peu de jaune sur le bord de l'aile (rémiges primaires externes) si c'était un verdier ; un autre critère mais qui demande un peu plus d'expérience : la base du bec est moins épaisse chez le pinson, ce qui lui donne un profil plus effilé, moins conique".
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Mésange bleue - Cyanistes caeruleus - Famille des Paridés.
La mésange zinzinule ou zinzibule.
Elle choisit le creux d'un arbre pour faire un nid douillet de plumes, de mousses et d'herbes odorantes : lavande, menthe etc…,
des plantes qui possèdent des qualités antiseptiques et insecticides. Elle pond une douzaine d'oeufs blancs tachetés qu'elle
va couver deux semaines. Le mâle participera à la recherche de nourriture pour sa progéniture, des insectes, des larves, etc...En hiver, la mésange est une habituée des mangeoires. Elle se suspend volontiers aux boules de suif, souvent la tête en bas.
Elle dort dans le lierre ou les feuillus, mais aussi dans les creux des arbres quand il fait mauvais temps.
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Mésange charbonnière - Parus major - Famille des Paridés.
C'est la plus commune et la plus grande des mésanges.
Elle se nourrit de petits insectes, de chenilles, d'araignées, de graines, de fruits...
En hiver elle fréquente les mangeoires.
La bande noire est plus étroite chez les femelles.
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Mésange nonnette - Poecile palustris-Parus palustris - Famille des Paridés.
La Mésange Nonnette zinzinule.
Elle niche en priorité dans des trous d'arbres, dans les forêts de feuillus, en général des chênes ou des hêtres, et parfois
dans les murs ou les nichoirs des jardins.
Une fois unis, les couples sont inséparables.
Elle se nourrit de graines, de baies. En hiver elle fréquente les mangeoires.
Contrairement aux autres mésanges, les nonnettes prennent chaque fois plusieurs graines à emporter. Elles font alors leur
réserve dans des cachettes telles que des fourches d'arbres, les crevasses, les écorces etc...
La mésange Nonnette est facilement confondue avec la fauvette à tête noire, dont la calotte se termine juste au-dessus de l'œil, et non en dessous.
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Mésange à longue queue - Aegithalos caudatus - Famille des ægithalidés.
(et non des paridés comme les autres mésanges).
C’est l'oiseau qui possède la plus longue queue par rapport à sa taille. Il est donc facile à reconnaître. Le corps est blanc rosé. Mâle et femelle sont identiques.
Cette mésange se différencie des autres par le fait qu'elle ne niche pas dans des cavités, mais construit son propre nid dans un arbre ou un buisson, un grand nid avec des parois tissées de mousses et de lichen, de façon à passer complètement inaperçue sur un tronc couvert de mousse. L’intérieur est garni de plumes.C’est la femelle qui couve les œufs (de 6 à 12). Les deux parents nourrissent les petites mésanges.
La mésange à longue queue descend rarement à terre ; Avec son bec court, elle se nourrit surtout d’insectes et de larves.Elles viennent à la mangeoire pour picorer les boules de graisse.
L’espérance de vie est de 6 à 8 ans.
19 mars 2018.
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Mésange huppée - Lophophanes cristatus - Famille des Paridés.
= Parus cristatus.La mésange huppée zinzinule.
Elle vit essentiellement dans les forêts de conifères.
Elle est facilement reconnaissable grâce à sa huppe qui se dresse sur la tête ; elle a également un petit collier et une bavette noirs.
Cette espèce se nourrit des insectes parasites des vieux arbres, et a sans doute beaucoup souffert de leur raréfaction. Elle aime également les araignées, hyménoptères, coléoptères et les graines de conifères.
Les mésanges huppées viennent aux mangeoires en hiver et apprécient le suif, les boules de graisse, les graines de chanvre et de tournesol, les noix, les noisettes et les cacahuètes.
L’espèce est monogame, les couples sont fidèles d’une année sur l’autre.
Durant la période des amours au printemps, le mâle redresse sa huppe et chante en inclinant la tête.
La mésange huppée est cavernicole. La femelle creuse un trou dans les troncs ou les souches de bois pourri. Occasionnellement elle utilise les cavités naturelles ou les anciens nids de pics. Le nid est généralement tapissé de mousses, de poils et de plumes.
La femelle pond et couve seule 7 à 9 œufs, tachetés de marron-roux. Les petits sont nourris par les deux parents et s’envolent entre 18 et 22 jours.
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